TOUT SAVOIR SUR LE CENTRE DE SUPERVISION URBAIN DE LA VILLE DE GRIGNY
Avec le CSU (Centre de Supervion Urbain), la Ville de Grigny permet désormais à la Police Municipale d’avoir un tout nouvel outil afin de contribuer pleinement à l’amélioration du cadre de vie sur notre commune aux côtés de la Police Nationale, dans un périmètre d’actions bien pré-défini par la Municipalité et l’État. Les objectifs premiers étant de prévenir les atteintes aux biens et aux personnes, identifier les auteurs, réguler la circulation urbaine, sécuriser les bâtiments et les sites communaux.
A quoi va servir le CSU ?
Déployé depuis 1er octobre 2021 dans le cadre de la mise en oeuvre d’une politique territoriale renforcée de prévention de la délinquance et de sécurité, la Ville de Grigny a décidé de se doter d’un dispositif de vidéoprotection sur les espaces publics avec comme missions principales :
- la surveillance de la voie publique,
- la mise à disposition des caméras dans le cadre d’une enquête judiciaire à la suite de la plainte d’un ou d’une administrée.
Le dispositif de protection comprend dans sa flotte les anciens vidéoprojecteurs de la copropriété de Grigny 2 qui ont été rachetés au fait de leur non-utilisation. Le déploiement sur notre ville s’accompagne aussi de l’installation de caméras au Centre-Ville, au Village, aux Tuileries et au cours de la fin d’année 2022 à la Grande Borne et aux Patios.
Le service concerné
Les caméras de Grigny dépendent du Centre de Supervision Urbaine de la Ville. Ce lieu, sécurisé et accessible aux seules personnes habilitées, permet l’enregistrement des images 24h/24 et 7J/7 (avec destruction automatique à l’issue de 30 jours), mais aussi le visionnage en temps réel des images par les opérateurs de vidéoprotection. Ces opérateurs vidéo sont liés au secret professionnel et à l’obligation de discrétion.
Durée de vie des images
Elles sont conservées pendant 30 jours au CSU. Au-delà elles sont détruites par écrasement automatique sauf en cas d’extraction judiciaire (elles sont alors conservées par l’autorité judiciaire).
La loi prescrit que le public est informé de manière claire et permanente de l’existence d’un système de vidéosurveillance et des coordonnées de l’autorité auprès de qui exercer le droit d’accès aux images
prises.